J’ai dans une main, un jardin d’édenSans appartenance, disponibleSi je le demandeAu chant du canard sur l’étangDans la paume de l’autre, des dunes aridesD’un roux ardent et d’illusionsBordées d’abondance Que du plaisir sans avenirÀ la croisée des vagues lendemains En équilibre, le corbeau me guette Bec mi-clos dans l’attente d’un gestePour voir lesquels de mes doigts se cambrerontDans le meilleur ou dans le pireJe souhaiterais que tu me suivesQue tu me gagnes par la douceurHabillée de ta candeurDans le meilleur ou dans le pireJ’aimerais que tu m’fasses rireQue tu me chantes l’évidenceÉgale au refrain des cigales Une part de moi voit bien au-delàDe l’accessible et la suffisanceAssez casse-gueule Le jeu du glamour et du hasardL’hémisphère gauche reste en deçàParle sans ambages et me fait douterDe la place que j’aiDans l’œil du cyclone pour y danserÀ la croisée des vagues lendemains En équilibre, le corbeau me guette Bec mi-clos dans l’attente d’un gestePour voir lequel de mes pieds se fouleraDans le meilleur ou dans le pireJe souhaiterais que tu me suivesQue tu me gagnes par la douceurHabillée de ta candeurDans le meilleur ou dans le pireJ’aimerais que tu m’fasses rireQue tu me chantes l’évidenceDans le meilleur ou dans le pireDans le meilleur ou dans le pireDans le meilleur ou dans le